Alors, comme personnellement je ne connais pas la réponse, je ne crois pas que ce soit cancérigène. Si, par exemple, le catalogue d’achat du centre de services scolaire prévoit qu’il est possible d’acheter ce type de produit-là, j’ose espérer que ça a été vérifié au préalable. Mais cette question-là me soulèverait un doute et m’amènerait à faire la validation auprès des personnes compétentes pour le faire, puis qui connaissent aussi les bonnes sources d’information. Certainement, la science s’est déjà intéressée à ça, puis il y a eu des validations. Avant de mettre quelconque produit dans une école, et de le mettre à la portée des enfants, il faut vraiment s’assurer qu’il n’y a rien de cancérigène. Et c’est la même chose pour les membres du personnel : toute personne qui évolue dans un milieu de travail quelconque doit être protégée contre les risques. Alors, j’irais aux bonnes sources. Je m’adresserais peut-être aux services éducatifs, qui ont des experts au niveau des technologies. J’irais peut-être aussi faire des validations auprès des ressources humaines, qui connaissent un peu les rouages de la CNESST. J’irais vraiment faire toutes les validations nécessaires, jusqu’à temps de me rassurer moi-même, pour être en mesure de transmettre cette réassurance-là à l’enseignant à qui je m’adresse. Si moi-même je suis rassuré, ça va être plus facile pour moi de rassurer cette personne-là. Pas que je sois inquiet — j’ai plutôt confiance — mais c’est correct de faire un maximum de validations quand il y a le moindre doute sur des questions de santé et de sécurité, dans un milieu de travail et dans un milieu d’enseignement. Alors, je me prêterais au jeu de la vérification. Je me rassurerais, et je rassurerais tout le monde.